LE
RACISME JUIF
MODÈLE
DE TOUS LES RACISMES
Roger Garaudy, dans son livre «Les mythes fondateurs de la politique israëlienne» écrit:
«Cette purification ethnique devenue systématique dans l'État d'Israël d'aujourd'hui, découle du principe de la pureté ethnique empêchant le mélange du sang juif avec le «sang
impur» de tous les autres.
Dans
les lignes qui suivent l'ordre de Dieu (juif) d'exterminer les populations qu'il leur livre, le Seigneur recommande à
Moïse que son peuple n'épouse pas les filles
de ces peuples. (AT, Exode, XXXIV, 16).
Dans
le Deutéronome (la Torah
juive de l´AT):
le
peuple «élu» (Deut. VII, 6) ne doit pas se mélanger aux autres:
« tu ne donneras pas ta fille à leur fils et tu ne prendras pas leur fille
pour ton fils.» (Deut. VII, 3).
Cet «apartheid» est la seule manière d'empêcher la
souillure de la race choisie par Dieu, la foi qui le lie à lui.
Cette
séparation de l'Autre est restée la loi: dans son livre sur «le Talmud» (Paris,
Payot, 1986, p. 104), le Rabbin Cohen écrit :
«les habitants du monde peuvent être
répartis entre Israël et les autres nations prises en bloc. Israël est le peuple élu: dogme
capital.»
Au retour de l'exil, Esdras et Néhémie (AT) veillent au
rétablissement de cet «apartheid»:
Esdras
pleure parce que «la race sainte (sic) s'est mêlée
avec les peuples des pays» (Esd. 9, 2)... Pinhas
empale un couple mixte...
Esdras
ordonne la sélection raciale et l'exclusion:
«Tous ceux qui avaient pris des femmes étrangères, ils les renvoyèrent,
femmes et enfants» (Esd.
10, 44). Néhémie dit des Juifs: «je les purifiais de tout élément étranger» (Néh. 13, 30).
Cette
mixophobie et ce refus de l'Autre excèdent la dimension raciale. Si l'on refuse le sang de l'autre par le mariage mixte, on
refuse aussi sa religion, sa culture ou sa
manière d'être.
Ainsi
Yahvé (le «dieu» des juifs) fulmine après ceux qui s'écartent de sa
vérité, la seule qui soit, bien sûr: Sophonie lutte
contre les modes vestimentaires étrangères;
Néhémie contre les langues étrangères :
«Je vis des Juifs qui avaient épousé des femmes
achdonites, amonites, moabites ; la
moitié de leurs fils parlait l'achdonien ou la langue de tel ou tel peuple, mais ne savait pas parler le judien. Je leur fis
des reproches et je les maudis ; je frappais quelques uns d'entre eux, je
leur arrachais les cheveux...» (Néh.
13, 23 - 25)
Les contrevenants sont tous durement jugés. Rebecca, femme d'Isaac et mère de Jacob, affirme:
«Je suis dégoûtée de la vie à cause des filles de Het (les femmes Hittites). Si Jacob prend une femme
comme celle-là, d'entre les filles de Het, que
m'importe la vie?» (Gn 27,46) ou les parents de Samson qui, excédés par le mariage
de leur fils avec une Philistine, s'écrient: «n'
y a-t-il pas de femmes parmi les filles de tes frères et dans tout ton peuple,
pour que tu ailles prendre ta femme chez les
Philistins, ces incirconcis ?» (Jug. 14, 3).
Le
littéralisme conduit aux mêmes massacres que Josué.»Les
colons puritains d'Amérique, dans leur chasse à l'Indien pour s'emparer de leurs terres, invoquaient Josué et les «exterminations
sacrées» des Amalécites et des Philistins.» (Source :
Thomas Nelson, «The puritans of Massachusets», Judaism,
Vol XVI, ndeg. 2 1967.)
Haïm Cohen, qui fut Juge
à la Cour Suprême
d'Israël, constate: «l'amère ironie du sort
a voulu que les mêmes thèses biologiques et racistes propagées par les nazis et
qui ont inspiré les infâmantes lois de Nuremberg,
servent de base à la définition de la judaïcité au sein de l'État d'Israël» (voir Joseph Badi «Fundamental Laws of the State of Israel». New York, 1960, p. 156).
En
effet au procès des criminels de guerre de Nuremberg, au cours de l'interrogatoire du «théoricien» de la race, Julius
Streicher, la question est posée:
«En 1935 au Congrès du Parti à Nuremberg les lois raciales ont été promulguées. Lors de la préparation de ce
projet de loi, avez-vous
été appelé en consultation et avez-vous participé d'une façon quelconque à l'élaboration
de ces lois?
Accusé Streicher: «-
Oui, je crois y avoir participé en ce sens que, depuis des années, j'écrivais qu'il fallait
empêcher à l'avenir tout mélange de sang
allemand et de sang juif. J'ai écrit des articles dans ce sens, et j'ai toujours répété que nous devions prendre
la race juive, ou le peuple juif, pour modèle.
J'ai toujours répété dans mes articles que les
Juifs devaient être considérés comme un modèle par les autres races, car ils se sont donné une loi raciale, la loi de
Moïse, qui dit: « Si vous allez dans un pays étranger, vous ne devez
pas prendre de femmes étrangères. » Et ceci, Messieurs, est d'une
importance considérable pour juger les lois de
Nuremberg. Ce sont ces lois juives qui ont été
prises pour modèle. Quand, des siècles plus tard, le législateur juif Esdras constata que, malgré cela, beaucoup
de Juifs avaient épousé des femmes non juives, ces unions furent
rompues. Ce fut l'origine de la juiverie qui, grâce à ses lois raciales, a
subsisté pendant des siècles, tandis que toutes les
autres races, et toutes les autres
civilisations, ont été anéanties»
(Source :
Procès des grands criminels de guerre devant le Tribunal
militaire international (Nuremberg : 14 novembre 19 45
- 1er octobre 1946. Texte officiel en langue française.
Débats du 26 avril
19 46, Tome XII. D. 321)
Ce racisme, modèle de tous les autres racismes, est une idéologie de domination de
différents peuples. Entre la shoah cananéenne
et la mixophobie s'insère actuellement l'idéologie du « transfert » de populations que
soutiennent 77 % des rabbins de Judée -
Samarie. Que cette doctrine de l'exclusion et de l´extermination, ait
des fondements en partie religieux («c'est DIEU qui l'impose») ne dédouane en rien le judaïsme du refus
de l'Autre. Le DIEU (juif) dans le Lévitique
enjoint aux juifs de ne pas pratiquer le mélange d'«espèces» (Lev. 19, 19) et leur commande de distinguer le «pur» de l'impur (Lev. 20,
25) comme lui-même a distingué
Israël des autres peuples (Lev. 20, 24), pour opérer
une discrimination raciale.
« J’établirai
une différence entre mon peuple et ton peuple » (Ex. 8, 19).
Ainsi,
en 1993, le grand Rabbin Sitruk peut-il dire sans crainte d'être rappelé
à l'ordre par quelque instance que ce soit:
«Je voudrais que
des jeunes gens juifs n'épousent jamais que des jeunes
filles juives.»
Cette phobie trouve son point culminant lorsqu'il s'agit d'Israël.
Ainsi Israël «qui
sera saint» (Lev. 20, 26) ne doit pas se «souiller» (Esd. 9,11)
au contact des autres nations que «DIEU» a pris «en
dégoût» (Lev.20, 23).
L'interdiction
est maintes et maintes fois répétée.
«Tu ne t'allieras
point par mariage avec elles (les nations cananéennes,
palestiniennes); tu ne donneras pas ta fille à leur fils, tu ne prendras pas leur fille pour ton fils...»
(Deut. 7, 3-4)
«Si vous vous attachez à ce qui reste de ces
nations qui sont demeurées avec vous, si vous
vous alliez par mariage avec elles, si vous pénétrez chez elles et qu'elles pénètrent chez vous, sachez le bien: YAHVE, votre
DIEU, ne continuera pas à déposséder ces
nations de devant vous. Elles deviendront pour vous un filet et un
piège, un fouet sur vos flancs et des aiguilles dans vos yeux, jusqu'à ce que
vous disparaissiez de dessus ce bon sol que vous a donné YAHVE, votre DIEU» (Jos. 23,12 - 23, 13).
Le
10 novembre 1975 ,
en séance plénière, l'O.N.U. a considéré que le sionisme était une forme de
racisme et de discrimination raciale.»
SOURCE :
http://www.radioislam.org/islam/french/livres/pss1.htm
Dr. Mohamed ZEMIRLINE
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire